une semaine de terrible épreuve (sca to)

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il y a 9 ans

Ceci est le début d'un fantasme qui m'est venu ce matin, il n'a pas encore de suite et qui sait s'il en aura une ;)

Voici: Je lui avais demandé plusieurs semaines auparavant de me dire quand il aurait une semaine complète sans obligation aucune. A ce moment là je lui avais indiqué également de se munir d'une chaîne de la longueur de sa cuisine, de 4 cadenas, de quoi couper la chaîne aux dimensions que je lui indiquerais, une bâche plastique de la taille de sa cuisine, 10 tétines à adapter sur des bouteilles d'un litre, 10 briques d'un litre de lait de soja, 5 boîtes d'épinards, 5 œufs et une grosse couche. Il lui faudrait trouver aussi le moyen pour que je puisse rentrer chez lui sans qu'il vienne ouvrir.

Sa liste achetée, photos à l'appui, je lui ai donné pour ordre d'aller chez tati se chercher un jogging, haut et bas le plus basique possible et le plus chaud possible, un collant d'hiver, un collant basique, et deux grosses paires de chaussettes bien chaudes. Sur place à l'heure du choix du jogging il devait me contacter et m'envoyer les photos des choix possibles. J'ai opté pour un jogging femme rose fluo en polaire. La veille au soir du début de sa semaine éprouvante, je l'ai appelé à 23h00 pour le guider dans la préparation et lui donner ses consignes pour la semaine. Je vais la faire courte.

Il a du faire toute la préparation nu, les boules lestées ainsi que ses tétons. Au final la bâche recouvrait tout le sol de la cuisine et un peu les bords. Dans un coin, un tabouret supportait son ordinateur, son réveil et son téléphone, tous branchés en hauteur. La chaîne avait été coupé et fixée à la porte du four de façon à ce qu'il puisse atteindre le micro onde, l'évier, le tabouret, les clefs de secours misent dans un cochon qu'il faudrait casser, et les provisions. Et enfin un bout de la chaîne remplaçait l'élastique pour fermer le pantalon et un autre petit bout servirait à lui lier les poignets.

Les autres clefs étaient dans sa boite au lettres, je les prendrais quand j'arriverais. Les consignes étaient simples. Sa semaine commencerait à 5h. Il devrait enfiler la couche, le collant puis le collant d'hiver, et le jogging qu'il devrait cadenasser. Ensuite, il devrait se cadenasser l’extrémité libre de la grande chaîne autour du cou et enfin les deux poignets à hauteur du nombril. Une fois fait, il ne resterait que le cochon ou moi pour le libérer. Pour le reste de la semaine, à 6h00 tout les matins il devrait boire 1l de lait de soja comme un biberon à 12h00 chaque jour il devrait manger un œuf dur et un bol d'épinards à 00h00 chaque nuit il devrait boire un nouveau litre de lait de soja comme un biberon.

Pour s'occuper il avait accès à internet et je lui avais donné 1000 images BDSM à renommer en fonction de ce qu'elles présentaient à l'aide d'un code. De plus il devait chaque jour me faire parvenir une page au moins avec ce qu'il imaginait possible lorsque j'arriverais pour le week-end clôturer sa semaine d'épreuve. Le pauvre n'avait pas anticiper les odeurs qu'allait engendre « ses fuites », il aurait du prévoir un parfum d'ambiance à déclenchement automatique.

Ce serait pour moi un première occasion de le punir, pour cette atteinte à mes narines et son manque d'anticipation. Dès le deuxième jour il a eu des fuites, sa couche étant saturée. D'où la bâche. Enfin inutile de vous décrire toute la semaine, il me suffit de vous dire que le pantalon n'était plus spécialement rose, de même que le haut, puisqu'il devait dormir à même le sol. Je l'avais d'ailleurs autorisé le deuxième jour à augmenter le radiateur, faute de couverture. Il était pas beau à voir.

J'arrive le samedi matin. Je prends les clefs dans sa boite aux lettres et je monte à son appart. Qu'elle puanteur, j'ouvre de suite les fenêtres et use et a b u s e de la bombe désodorisante avant même de l'engueuler pour son manque d'anticipation sur les odeurs. Il fait peine à voir. Je regarde les clefs, et elles se ressemblent toutes, nouvelle engueulade, il pouvait pas les étiqueter ? Je sors de mon sac une paire de gants de cuisine en caoutchouc et le fait approcher au maximum, que je mette pas les pieds dans sa porcherie. Je décadenasse ses poignets et son pantalon. Je le fais baisser le dit pantalon, qui est tout bonnement immonde. Je lui fais retirer le collant en nylon, et d'une main, plonger dans sa couche pour remplir au mieux l'un des pieds de ce collant. Je lui demande d'enfiler le dit pied sur la tête comme le ferait un cambrioleur, il hésite. Je lui rappel qu'il a déjà deux manquements et que de toute façon au point où il en est que ça change pas grand-chose.

Il l'enfile et je le fais approcher, à genoux, les mains dans le dos et de ma main droite gantée, j'écrase sa m e r d e sur son visage puis lui dit qu'il peut se branler avec la main droite dans la couche. Je suis obligé de réitérer mon ordre, c'est toujours ainsi quand ils sont pas habitués, les débuts sont difficiles, puis après ils se rendent compte que le plaisir est là, qu'il les attend. Il jute dans sa couche, il est tout essoufflé. J'enlève mes gants en faisant bien attention et les jette dans sa porcherie avec les clefs restantes. Je lui demande de se décrocher. Pendant se temps, je sors de mon sac, en lui faisant la remarque que je pense à tout, un énorme sac poubelle pour gravats, bien résistants. Et je lui donne l'ordre de venir comme il est dedans, et d'aller à la salle de bain, dans la baignoire, tout retirer, et tout frotter pour nettoyer, il se lavera une fois la lessive faite. Et il a pas intérêt à sentir mauvais en sortant.

Il met du temps, mais c'était prévisible vu la tâche ardue. Pendant ce temps je me pose devant la télé. Quand il sort, le linge sèche au-dessus de la baignoire et lui est nu. Je m'approche très prêt, suffisamment pour le humer. Satisfait, je lui dis qu'il peut aller décrocher la bâche et la mettre dans le sac poubelle qu'il a utilisé juste avant accompagnée de sa couche dégueulasse, et qu'il a intérêt à bien fermer le sac. Quand il a fini, il vient se mettre debout à côté du divan. Il attend la suite. Moi je le laisse patienter droit comme un i jusqu'à la fin de l'émission.

L'émission finie, j'éteins la télé et sors de mon sac ses écrits de la semaine. Je le regarde et lui dit ce que c'est et lui demande si vraiment il se pense capable de tout ce qu'il a écrit. Il me répond que non. Je lui réponds que pourtant, dedans, je n'y ai trouvé aucun de ses tabous. Que dois-je en déduire ? Qu'il m'a menti sur ses tabous ? Il bafouille, et répond qu'effectivement il n'y en a pas, et que si je voulais vraiment, il accomplirais tout ça à ma demande. Je lui demande qu'est-ce qui le dérange le plus dans ses écrits et je surligne, puis les range. Bien, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.

Ceci est le début d'un fantasme qui m'est venu ce matin, il n'a pas encore de suite et qui sait s'il en aura une ;)

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